Le « 3 Concepts en 1 » – Comment être co-créateur de votre vie.
» Mets en avant ce que tu désires, ne diminue pas ce que tu as. Tu as peut-être trop souvent joué un petit rôle dans les films des autres. Il est temps d’être la vedette. »
Le « 3 Concepts en 1 » a été conçu par Gordon Stokes, Daniel Whiteside et Candace Callaway dans les années 70 en Californie, berceau de l’innovation et véritable creuset pour les avant-gardes de tout genre.
Philosophie de vie et méthode de kinésiologie, le «3 Concepts en 1 » entre en résonance avec un grand nombre d’écrits plus récents qui enseignent que nous avons tous, en chacun de nous, les clés d’accès aux défis que la vie nous offre et que nous percevons trop souvent comme des problèmes.
C’est cette capacité à percevoir les événements différemment que cherchent à stimuler la plupart des techniques de réduction du stress dont la kinésiologie. Pour stimuler cette capacité, la kinésiologie utilise un outil inégalable : le langage des muscles.
C’est un changement de tonus qui permet de déceler les stimuli ‘négatifs’ par le testing des muscles.La personne testée ressent les changements de réponse de son corps et prend ainsi conscience de l’origine de ses déséquilibres.
Parmi les méthodes de kinésiologie, le « 3 Concepts en 1 » est une solide base de travail sur soi et d’accompagnement. Il est aussi le spécialiste du travail en profondeur sur les émotions pour retrouver le pouvoir de faire nos véritables Choix en lien avec notre ETRE (et non plus nos choix de survie) et d’atteindre nos objectifs de vie. Il nous aide à sortir de nos statuts de victime.
Daniel Whiteside citait souvent cette phrase de Shakespeare : « La faute cher Brutus, n’est pas dans nos étoiles, si nous sommes des subalternes, mais en nous-mêmes ». (Jules César)
Le Baromètre du Comportement ®, colonne vertébrale de ce travail vers l’ETRE, nous aide à mettre des mots sur ce que nous ressentons dans les situations de blocage ET en même temps sur ce que nous voulons changer. Il permet d’aborder la nature duelle de l’Etre Humain et l’acceptation de nos paradoxes.
La Structure/Fonction, décodage des traits du visage, montre que « Ce qui est dehors est comme ce qui est dedans » et met en lumière notre Nature Profonde. Son enseignement nous permet de mieux nous connaître et de choisir des comportements plus productifs dans des situations douloureuses. Il donne accès à une meilleure compréhension des autres et à leur différence, pour une meilleure communication entres les humains et aussi les races.
La récession d’âge, une autre spécificité de cette méthode, nous permet d’interroger la mémoire du corps, qui est phénoménale, afin d’aller rechercher les situations mal vécues dans le passé et de les débloquer grâce à la visualisation, aux jeux de rôles et à des techniques nombreuses et variées propres au « 3 Concepts en 1 » , ou issues d’autres disciplines (énergétique chinoise, symboles, essences, …).
Débloquer le passé permet de « remettre des compteurs à zéro » (en changeant notre perception des événements vécus tout en les laissant à leur place), de mieux vivre dans le temps présent et de changer notre futur.
En écho à la citation de Daniel Whiteside : un article publié le 25 février 2017 :
Cérémonie des Oscars 2017 : Quand George Clooney invoque Shakespeare et « Jules César »
George Clooney, qui s’est vu remettre un César d’honneur, n’a pas manqué de faire sa déclaration sur la politique américaine. Ce fut l’un des moments les plus forts de la soirée.
« Les actes du président des Etats-Unis ont alarmé et consterné nos alliés, en confortant considérablement nos ennemis. A qui la faute ? Pas forcément la sienne. Il n’a pas créé cette situation de peur, il l’a exploitée », a dit George Clooney. Il a ensuite fait référence à la pièce Jules César de Shakespeare. Dans cette pièce Brutus tue son ami César, alors que son pouvoir prend beaucoup trop d’ampleur et devient dangereux pour la république. Clooney a cité cette phrase de Cassius (l’un des personnages de la pièce): « la faute cher Brutus, n’est pas dans nos étoiles mais en nous-mêmes ». Sous-entendu, à chacun de prendre ses responsabilités, Trump n’est pas à la Maison Blanche par hasard, mais parce que les gens ont eu peur.